J'ai épouse son âme,avant de chausser son corps,
Fidelisant ses mots, me mariant à ses gestes,
J'ai embrasse son cœur, choisissant sans effort,
Son tout, germe en moi, m'accouplant au céleste.
Peut-être ai- je eu peur, et je me suis cachée,
Silencieuse, sur ma lèvre, une coquille étanche,
Peut-etre l'ai-je affolé, il s'est amourache,
De ce cloître protecteur ou aucune vie s'épanche.
Sa tendresse, je l'ai bu, dégustant ses pensées,
Nous étions enchaînés au grand jeu des Aimes,
Nous nous sommes adores ,s' aimant à en crever,
Des promesses pleuvaient, devenant nos alliées.
Il a choisi mon âme, s'emparant de mon corps,
Nous échangions des mots, les mains au bout des gestes,
Le sceau de nos cœurs aux eclats de Bupreste,
S'adonnant aux tentations, delestés de nos corps...
Fidelisant ses mots, me mariant à ses gestes,
J'ai embrasse son cœur, choisissant sans effort,
Son tout, germe en moi, m'accouplant au céleste.
Peut-être ai- je eu peur, et je me suis cachée,
Silencieuse, sur ma lèvre, une coquille étanche,
Peut-etre l'ai-je affolé, il s'est amourache,
De ce cloître protecteur ou aucune vie s'épanche.
Sa tendresse, je l'ai bu, dégustant ses pensées,
Nous étions enchaînés au grand jeu des Aimes,
Nous nous sommes adores ,s' aimant à en crever,
Des promesses pleuvaient, devenant nos alliées.
Il a choisi mon âme, s'emparant de mon corps,
Nous échangions des mots, les mains au bout des gestes,
Le sceau de nos cœurs aux eclats de Bupreste,
S'adonnant aux tentations, delestés de nos corps...
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